Bon bin depuis samedi j’ai constatée l’écoulement d’un liquide visqueux et jaunâtre voir rosâtre au niveau de l’un des seins et apparement il...
En savoir plusQuoi de neuf ? Informez la communauté de vos avancées
Tout se passe merveilleusement bien, j'ai la poitrine que j'ai toujours rêvé d'avoir. :)
Les cicatrices verticales sont déjà quasi invisibles (elles sont plates et claires) ; mais les cicatrices horizontales du pli sous-mammaire prendront un peu plus de temps à s'effacer. Elles sont un peu plus en relief et la couleur diffère un peu (surtout aux extrémités).
On ne voit pas bien sur la photo mais une toute petite partie de mon mamelon droit est depigmentée, c'est là où se trouvaient certains fils que j'aurais sans doute du laisser tomber tout seuls au lieu de les tirer au bout de 2 semaines (même si j'avais tiré doucement).. Donc les filles si vous voulez que le résultat soit parfait, surtout ne touchez à rien ! Je regrette d'avoir touché aux fils car maintenant il faudra sans doute que j'aie recours dans quelques mois à la dermopigmentation pour un résultat uniforme sur le mamelon droit.
J'utilise la crème Cicabio 50+ pour le massage des cicatrices, même si j'hésite à passer aux huiles essentielles ou à l’aloe vera...
J'essaie de masser les cicatrices tous les jours pendant 5 à 10 minutes mais parfois c'est un peu compliqué avec les cours qui ont repris...
J'ai repris le sport doucement mais j'évite pour l'instant la course à pieds et la musculation du haut du corps. Je privilégie donc le vélo et tout ce qui est squats, fentes etc.
Je pense attendre encore 1 mois (donc 3 mois en tout) avant de reprendre le sport à tous les niveaux.
En tout cas ce n'est que du bonheur...
N'hésitez pas si vous avez des questions :)
[Disclaimer : C'est long, préparez vos popcorns ! J'ai fait le choix de partager mon expérience par un témoignage long et détaillé car il y a beaucoup de détails que j'aurais aimé connaître avant mon opération... et que je n'ai trouvé nulle part]
Je n'ai jamais aimé ma poitrine.
J'en ai été complexée depuis le collège : à 13 ans, je faisais déjà un bon bonnet D. Les remarques incessantes des garçons, leurs tentatives de me tripoter « juste pour voir »... Un malaise qui remonte de loin. Cela me choque presque d'y repenser aujourd'hui en me disant que les professeurs n'ont jamais réagi alors que c'étaient bel et bien des agressions à caractère sexuel.
A quasiment 14 ans et en plus de mon complexe, je me rends compte que mes seins, qui exigent désormais le port d'un soutien-gorge de bonnet E, tombent. A côté de cela, le poids de cette poitrine me provoque systématiquement de fortes douleurs dans la nuque, les épaules et le dos en fin de journée. Je n'ai même pas encore 14 ans, je ne comprends pas. Je n'ose pas en parler à ma mère et je fais mes propres recherches sur internet. Je comprends alors que je souffre d'une hypertrophie mammaire. Les photos correspondent. Elles me reflètent ce que je vois dans le miroir. J'apprends que le sport ou les crèmes ne pourront y remédier et que la seule solution est de passer par la voie chirurgicale : la réduction mammaire. Dès lors, je n'ai plus que cette idée en tête. Le problème étant à l'époque mon trop jeune âge. Quel supplice de devoir attendre 4 ans avant de pouvoir me faire opérer !
Mon image de moi ne s'est pas améliorée lorsque j'ai commencé les relations avec les garçons à l'âge de 16 ans. Je portais alors un 95F (voire 90G, selon les marques) pour 1m63. Je ne voulais jamais retirer mon soutien-gorge dans l'intimité, ce qui m'a valu de subir les crises de nerfs de certains.
A 18 ans, « l'âge de la libération », je prends rendez-vous avec un chirurgien d'une clinique de banlieue parisienne. Une amie s'était faite opérer par lui pour corriger une ptôse mammaire et était plutôt satisfaite du résultat, « même si ce n'est pas parfait » comme elle me le dit. Je préfère ça plutôt que de choisir un chirurgien au pif.
Finalement, je ne le trouve pas très sympathique, il n'est pas du tout arrangeant concernant le paiement et il ne m'inspire pas spécialement confiance ; je préfère donc poursuivre mes recherches.
Après plusieurs relations et un séjour à l'étranger de 6 mois, ce n'est que quelques années plus tard, l'année de mes 21 ans, que je reprends mes recherches. Ce n'est pas facile d'être sûre d'avoir trouvé LE bon chirurgien et il est également difficile de se fier à 100% aux commentaires sur internet.
Je prends rendez-vous avec le Dr Vincent Hunsinger à Paris. J'avais vu sur son site internet des photos avant-après qui me paraissaient satisfaisantes ; surtout concernant l'aspect des cicatrices car je suis métisse (de mère blanche et père noir) et Dieu sait ce que les peaux noires et métissées ont la cicatrisation difficile ! Dès le premier rendez-vous, il me met tout de suite à l'aise et installe une relation de confiance (en plus d'être jeune et vraiment mignon ahah). Il me montre des photos de cas similaires au mien et répond aux quelques questions que j'ai – j'en avais peu car je m'étais déjà beaucoup renseignée avant.
Pour avoir droit à une prise en charge de la sécurité sociale, il faut que le chirurgien puisse enlever au minimum 300g par sein, ce qui correspond généralement à 2 bonnets. Je fais un 95F et j'hésite entre un bonnet C et un bonnet D ; finalement on se met d'accord avec le chirurgien pour dire qu'un bonnet D épousera mieux les courbes de mon corps.
Etant donné que j'ai une peau métissée et que la cicatrisation peut parfois être difficile, il me propose d'utiliser une nouvelle technique afin de diminuer au maximum les cicatrices et les rendre quasi invisibles : le laser Urgo Touch. C'est un laser que le chirurgien va passer sur les cicatrices directement après l'opération quand la patiente est encore endormie. Cela représente un surcoût de 500€ mais je sais que je vais garder ces cicatrices toute ma vie donc je veux faire tout ce qui est possible pour qu'elles soient le moins visibles possible.
Je décide de lui faire confiance et d'arrêter de me poser trop de questions, on cale donc une date d'opération pour le 26 juillet 2017, environ 1 mois et demi plus tard.
Voilà comment se découpe le prix de l'opération dans mon cas :
• prise en charge de la sécu : 392.48€
• dépassement d'honoraires du Dr Hunsinger : 2700€ (laser Urgo Touch compris)
• dépassement d'honoraires de l'anesthésiste : 450€.
Il me restait donc 3150€ à ma charge. Le chirurgien a été très arrangeant et a accepté un paiement en 3 fois, l'anesthésiste aussi. Ma mutuelle ne rembourse l'opération qu'à hauteur de 600€ environ mais j'ai entendu dire que certaines mutuelles remboursaient jusqu'à 1500€, donc renseignez-vous bien.
Il faut aussi savoir que l'opération peut manifestement être presque entièrement prise en charge si vous vous faîtes opérer dans un hôpital public (je l'ai appris après). Toutefois les délais pour les rendez-vous seront plus longs et il est difficile de connaître exactement la compétence des chirurgiens concernant le résultat final. C'est une question de choix.
LE MOIS AVANT L'OPERATION :
Je suis fumeuse depuis 1 ans et avec le stress des examens j'en étais à fumer environ 15 cigarettes par jour, quand je n'allais pas boire des coups avec mes amis – ça pouvait alors être bien plus. Le chirurgien me l'a bien dit : arrêt strict du tabac au minimum 1 mois avant et 1 mois après l'opération. Un vrai challenge ! Mais nécessaire si je veux éviter au maximum les risques d'infections ou de nécrose ainsi qu'une cicatrisation difficile et tardive. Je parviens à trouver la motivation d'arrêter environ 30 jours avant la date de l'opération. Bon, en réalité je me suis laissée submergée par l'envie de fumer 3 fois lors de ce mois, dont la dernière fois 4 jours avant l'opération. Mais je me dis que c'est mieux que rien ! Je suppose que ce ne sont pas 3 malheureuses clopes qui auront foutu en l'air tous mes efforts... même si ce n'est pas non plus l'idéal.
Je conseille aux fumeuses qui me lisent de s'y prendre plus à l'avance que moi car il peut être dur d'arrêter d'un coup de la sorte. Et dans le cas où vous n'y arriveriez pas, il ne faut absolument pas fumer moins de 48h avant l'opération.
J'avais d'ailleurs acheté une cigarette électronique pour m'aider à arrêter mais je précise que la nicotine est interdite au même titre que le tabac car elle est grandement préjudiciable à la cicatrisation. Pour utiliser cette alternative il faut donc que ce soit sans nicotine : pour être honnête cela ne soulage pas vraiment les envies, mais c'est mieux que rien.
Il est généralement conseillé de perdre du poids avant l'opération ou du moins de se stabiliser à son poids idéal car une prise ou perte de poids après l'opération peut altérer le résultat. Je m'étais donc mis en tête de perdre 6 ou 7 kilos avant l'opération, toutefois je devais déjà gérer l'arrêt de la cigarette et il était donc très difficile de trouver le « willpower » pour mener ces deux combats de front. Avec la pression que je m'étais mise, j'ai même pris 1kg... Je conseille donc à toutes les femmes voulant effectuer une réduction mammaire de s'y prendre à l'avance et de stabiliser leur poids avant.
Je compte tout de même perdre du poids après l'opération mais je devrai faire très attention et je sais que cela sera beaucoup plus long. Effectivement, le problème n'est pas tant de perdre du poids mais de perdre du poids trop rapidement. En perdant par exemple 1 kg par mois, a priori la peau a le temps de se replacer et cela ne devrait pas être trop dommageable pour le résultat (je vous ferai part de mon évolution dans les prochains mois!).
Pendant le mois précédant l'opération, il y a plusieurs choses à faire et dépenses à prendre en compte : mammographie, analyses de sang, commande d'un soutien-gorge de contention ainsi que de bas de contention, rendez-vous avec l’anesthésiste, 2e rendez-vous avec le chirurgien quelques jours avant l'opération pour être sûr que tout est clair et poser d'éventuelles questions. Il faut donc prévoir dans votre budget tous ces surcoûts.
Dans mon cas :
• Malgré l'ordonnance du chirurgien, la mammographie m'a coûtée plus de 80€ ; j'avais oublié ma carte vitale et la personne de l'accueil m'a dit que de toute façon ce n'était pas pris en charge par la sécu. Elle ne m'a donc donné ni feuille de soins ni facture. Je me demande si je ne me suis pas un peu faite arnaquer ? Ahah. Si j'avais demandé une facture, j'aurais sans doute au moins pu me faire rembourser en partie par ma mutuelle. Renseignez-vous à l'avance concernant le centre de radiologie où vous allez faire votre mammographie !
• Les analyses de sang ont coûté plus de 90€. La biologiste, d'ailleurs très désagréable, a refusé de me le faire passer en tiers-payant car sur mon ordonnance, il y avait écrit sous le nom du chirurgien : « chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique ». Malgré ma tentative de lui expliquer que c'était de la chirurgie reconstructrice prise en charge par la sécu, elle me disait qu'elle ne pouvait pas être sûre qu'il ne s'agissait pas de chirurgie esthétique car ce n'était pas précisé sur l'ordonnance. J'ai donc été obligée d'avancer les frais. Elle m'a quand même fait une feuille de soins mais je vais être obligée d'attendre plusieurs semaines avant d'être remboursées (vive les sécu étudiantes!). Même conseil, appelez le laboratoire d'analyses à l'avance pour être bien sûre qu'ils ne vous fassent pas le même coup. Le laboratoire où je suis allée était celui situé en face du métro Chevaleret à Paris. A éviter absolument!
• Le soutien-gorge de contention (Cereneasy Cerecare triple agrafage) a coûté 57€ (non remboursé par la sécu). J'ai envoyé la facture et l'ordonnance à la mutuelle pour voir s'ils peuvent me rembourser quelque chose.
• Les bas de contention et la Bétadine (pour la douche pré-opératoire) sont entièrement remboursés par la sécu.
• Le rendez-vous avec l'anesthésiste a coûté 60€.
Chaque rendez-vous avec le chirurgien a coûté 90€ (donc 180€ en tout, une petite partie seulement est remboursée par la sécu).
Quelques jours avant l'opération j'ai un petit coup de blues ; cela est apparemment assez fréquent. Restez avec votre famille ou vos amis dans ces moments-là ! Et sachez que vous prenez la bonne décision.
LA VEILLE DE L'OPERATION :
Je me relaxe et passe du temps avec ma famille. Le soir, douche à la Bétadine obligatoire, en insistant bien sur les cheveux, nombril, etc.
Peut-être à cause de l'appréhension, je n'arrive pas à dormir et passe une nuit blanche. Jeun obligatoire à partir de minuit.
LE JOUR DE L'OPERATION :
Re-douche obligatoire à la Bétadine le matin de l'opération.
J'arrive à la clinique à 9h15. On m'installe dans ma chambre et une fois déshabillée et les vêtements opératoires enfilés (ainsi que les bas de contention), j'attends patiemment mais nerveusement. Je me rends compte que c'est la dernière fois que je portais le soutien-gorge que je viens d'enlever.
Je dois me faire opérer à 10h30. Autour de 10h, le chirurgien vient faire sur ma poitrine les dessins qui lui serviront de repères pour l'opération. J'étais stressée mais il a été vraiment très rassurant et a su répondre à mes questions et angoisses de dernière minute (love forever sur lui).
Je patiente encore quelques minutes et ça y est, on m'emmène au bloc opératoire. Anesthésie générale oblige, je m'endors en quelques secondes.
L'opération dure environ 2h. J'ouvre les yeux quelques heures plus tard en salle de réveil. Je suis complètement dans le flou et j'ai assez mal, j'essaie d'interpeller une infirmière mais j'ai du mal à parler et elle ne comprend rien à ce que je dis. Je prends une inspiration et me concentre sur les mots qui vont sortir de ma bouche : « J'AI MAL ! »
Elle m'augmente la dose d'anti-douleurs.
Un peu plus tard, on me remmène dans ma chambre. J'ai encore mal, je le dis à une autre infirmière, elle augmente de nouveau la dose d'anti-douleurs dans la perfusion. La douleur s'estompe un peu mais il ne sera pas possible d'atteindre une douleur zéro. Je suis épuisée, je somnole. Ma mère arrive autour de 18h. L'infirmière me donne à boire un verre d'eau (enfin!) et me demande de me lever et d'essayer de marcher. J'y vais doucement mais j'y arrive sans aide et je n'ai pas la tête qui tourne. J'arrive à faire pipi. On me donne une collation et j'arrive à manger un yaourt.
Le soutien-gorge de contention avait déjà été enfilé juste après l'opération, par-dessus les pansements, lorsque j'étais encore endormie. Je n'ai pas de drains (mon chirurgien n'en utilise pas et tant mieux!). Je touche le haut de ma poitrine qui n'a jamais été aussi ferme. Dans le miroir de la salle de bains, j'admire le changement de volume et cette nouvelle poitrine que j'aime déjà. Passer d'un 95F tombant à 95D bien ferme, ce n'est pas rien.
Le chirurgien revient me voir et me dit que l'opération s'est très bien passée. Il me fait une ordonnance pour les antalgiques, les pansements et l'infirmière ; et me souhaite une bonne convalescence.
J'avais le choix de rester à la clinique une nuit ou bien de rentrer chez moi le soir-même à condition que tout aille bien (opération dite en ambulatoire) ; j'ai préféré rentrer chez moi, on me laisse partir autour de 19h. Enfin je rentre chez ma mère, car je savais que vivre seule les premiers temps serait compliqué : interdiction de porter des choses lourdes pendant minimum 2 semaines donc impossibilité de faire les courses soi-même, et il y a aussi la douleur à prendre en compte...
Je suis complètement épuisée et après avoir seulement mangé un fruit, je vais me coucher et m'endors directement !
J+1 :
Après m'être levée, je vais à la pharmacie (accompagnée de mon petit frère venu pour m'aider car j'ai un peu de mal à marcher) afin d'aller acheter les antalgiques, les pansements et obtenir le numéro d'une infirmière. En effet, une infirmière doit passer changer les pansements dès le lendemain de l'opération et tous les jours jusqu'à cicatrisation. Par contre, c'est à moi d'enlever les pansements et de prendre ma douche en lavant délicatement les cicatrices avec un savon doux.
Une infirmière va venir l'après-midi, je dois donc commencer à me préparer -et je sais que cela me prendra du temps. Quelle angoisse ! J'enlève le soutien-gorge de contention (j'ai l'impression que mes seins vont tomber par terre mais non) et je découvre les pansements plein de sang : la panique. Je respire et me résous à commencer à les enlever, cela me prendra une demi-heure. Finalement et malgré les pansements ensanglantés, les cicatrices sont propres et nettes, ça ne coule pas (voir les photos). J'avais pris mes médicaments un peu plus tôt donc je n'ai pas spécialement mal. Je ressens une certaine tension dans les seins, ce qui est normal.
Je découvre ma nouvelle poitrine : toute ronde, les seins bien hauts et très bombés, on croirait des faux seins !
Heureusement que ça ne va pas durer, ils vont par la suite dégonfler un peu et prendre un galbe naturel.
Epreuve suivante : la douche. Je suis très très angoissée. Je prends un peu de temps à me lancer, finalement j'y vais doucement mais ça ne fait pas du tout mal. La zone entourant les cicatrices est presque insensible après l'opération. Je nettoie doucement avec le savon doux acheté à la pharmacie, je rince et je sèche délicatement avec une serviette propre.
L'infirmière arrive, elle désinfecte les cicatrices et met de nouveaux pansements avant de m'aider à remettre le soutien-gorge de contention, que je dois porter nuit et jour pendant 1 mois. Elle me dit que c'est du très beau travail.
LES JOURS SUIVANTS :
L'infirmière continue à venir changer les pansements tous les matins. La cicatrisation se passe très bien, pas d'infection en vue. Parallèlement, j'ai commencé à prendre les pilules Protéochoc du labo Pileje pour aider à la cicatrisation – j'étais un peu sceptique mais les ecchymoses que j'avais ont disparu en 2 jours avec. Je fais attention à mon alimentation en mangeant plus de fruits et légumes et en évitant les sucres, chocolats et alcools qui peuvent être préjudiciables à la cicatrisation.
L'infirmière a arrêté les pansements depuis J+9 car ils étaient propres, elle se contente depuis de désinfecter et mettre des compresses afin que la peau puisse respirer. En revanche j'ai la peau des seins qui pèle depuis J+10 : la poitrine était très tendue juste après l'opération et maintenant que la peau s'assouplit, elle pèle. Je fais ma mue de serpent !
J+12 : rendez-vous post-opératoire. Tout est très bien. Les seins ont déjà dégonflé pour laisser place à un aspect plus naturel. La remplaçante du chirurgien (lui est parti en congés) me conseille simplement de mettre de la vaseline sur les zones qui pèlent après avoir lavé et désinfecté, et ensuite d'appliquer les compresses. Le passage de l'infirmière n'est plus nécessaire, désormais je m'en occuperai toute seule (mais c'est un peu galère). Il est encore un peu tôt pour appliquer de la crème cicatrisante, il va falloir attendre encore.
Je publie ce témoignage à J+14 ; j’actualiserai mon expérience au fil du temps avec des photos :)
N'hésitez pas si vous avez des questions, je me ferai un plaisir d'y répondre !
Ce qui est sûr est que pour l'instant je suis vraiment satisfaite de mon opération et du travail du Dr Hunsinger (je le recommande +++), c'est un pur bonheur !
Cette histoire vous a plu ? Racontez-nous la vôtre ici !
Bon bin depuis samedi j’ai constatée l’écoulement d’un liquide visqueux et jaunâtre voir rosâtre au niveau de l’un des seins et apparement il...
En savoir plusSujet à des douleurs aux dos à cause de ma forte poitrine qui me faisait souvent mal, j'ai décidée de faire...
En savoir plusTout le contenu de cette page est généré par les utilisateurs réels du portail et non par des médecins ou des spécialistes.
Le contenu publié sur Multiesthetique.fr (site web et App) ne peut en aucun cas remplacer les informations fournies individuellement par un spécialiste en chirurgie esthétique et en médecine ou dans des domaines connexes. Ce contenu est purement indicatif et ne constitue pas un avis médical ni un service médical de référence. Nous faisons des efforts constants pour maintenir un haut niveau et une grande précision quant aux informations fournies. Toutefois, la précision et l'adéquation des informations contenues ou liées ne sont pas garanties. Multiesthetique.fr ne fait l'apologie d'aucun traitement médical spécifique, produit commercial ou service.